bilaterals.org logo
bilaterals.org logo

Chili

Le Chili est l’un des pays latino-américains les plus motivés à conclure des accords bilatéraux de libre-échange.

Le Chili a signé des accords de libre-échange (ALE) plus ou moins exhautifs avec les États-Unis (ÉU), le Canada, l’Union européenne (UE), l’Association européenne de libre-échange (AELE), la Corée du Sud, le Japon, l’Amérique centrale et le Mexique. En juin 2005, il a finalisé une entente à quatre avec le Brunéi, la Nouvelle-Zélande et Singapour (P-4) et, en juin 2006, il a signé un ALE avec le Panama. En février 2010, un accord à été signé avec le Guatemala.

Le Chili est le premier pays d’Amérique latine à avoir conclu un ALE sur les biens avec la Chine (2005) et, depuis le début 2007, il discute avec Beijing d’une expansion de l’entente pour y inclure les services et les investissements. D’autres accords allant dans ce sens ont été conlus pendant la visite de la présidente Bachelet en Chine en avril 2008. L’accord sur les services est entré en vigueur en août 2010.

Le Chili a aussi des « accords de complémentarité économique » bilatéraux avec la Bolivie, le Pérou, le Venezuela, l’Argentine, l’Équateur, la Colombie et le Mercosur, de même qu’un accord partiel avec Cuba.

En 2008, le Chili a signé des ALE avec l’Australie, le Honduras et la Colombie, et il étend la portée de ces accords avec le Pérou et Cuba.

En mars 2011, l’ALE entre le Chili et la Turquie est entré en vigueur, et en avril 2012, c’était au tour de celui avec la Malaisie. Des négociations avec la Thaïlande, le Vietnam, l’Inde et Hong Kong sont toujours en cours.

Fóto : Jose Pereira

dernière mise à jour : mai 2012


Le nouvel accord commercial entre le Chili et l’UE doit être arrêté
Dans une déclaration signée par des dizaines d’organisations chiliennes, sud-américaines et européennes, la société civile appelle à stopper ce projet d’accord qui pourrait être signé au début de l’été 2023.
Réflexions des mouvements sociaux sur les ALE dans la nouvelle constitution chilienne
Entretien avec l’activiste chilienne Lucía Sepúlveda Ruiz, porte-parole de Chile Mejor sin TLC.