Malgré leurs promesses d’écouter les agriculteur.ice.s et de prendre des mesures pour lutter contre la crise des prix et le renouvellement générationnel dans le secteur agricole, les décideur.euse.s politiques de l’UE tentent d’imposer l’accord de libre-échange UE-Mercosur.
Alors que la Commission européenne entend accélérer le processus de ratification de l’accord de libre-échange entre l’UE et les pays du Mercosur, la position de la France devient incertaine.
Le gouvernement canadien ne devrait pas mettre en œuvre l’accord de libre-échange récemment signé avec l’Équateur, car cet accord risque de faciliter les atteintes à l’environnement et aux droits humains.
Cette note rassemble plusieurs arguments en faveur de l’utilisation des droits de douane et des barrières non tarifaires pour protéger les personnes productrices alimentaires à petite échelle, et pour promouvoir la souveraineté alimentaire ainsi que l’autodétermination économique.
Ce traité profiterait massivement à des multinationales telles que le géant brésilien JBS, plus grand producteur de viande au monde, et ce au détriment de la nature, du climat, des propriétaires de petites exploitations.
Un examen interne mené par l’UE sur l’accord d’association conclu avec Israël a mis en évidence « des indices de violation » des engagements en matière de droits humains énoncés dans le texte.
L’Indonésie et l’Union économique eurasiatique ont officiellement conclu les négociations sur un accord de libre-échange, en vue d’une signature plus tard cette année, a annoncé le ministère indonésien de coordination des Affaires économiques
La France et l’Italie appellent à "un meilleur équilibre" de l’accord UE-Mercosur pour protéger les agriculteurs européens y compris en adoptant "des clauses dédiées", ont-elles annoncé dans un communiqué conjoint.
L’homme d’affaires arménien basé en Russie Samvel Karapetyan, propriétaire du groupe Tashir, a engagé une procédure d’arbitrage contre la France devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements.
Le gouvernement marocain envisage de renégocier l’accord de libre-échange avec la Turquie afin de compenser l’énorme déficit commercial bilatéral, principalement dû à l’explosion des importations de tissus turcs.