Le mouvement altermondialiste s’oppose depuis 30 ans aux accords de libre-échange. Que pense-t-il de la guerre commerciale engagée par Donald Trump à coups de droits de douane prohibitifs ?
Le retour au pouvoir de Donald Trump bouleverse encore davantage l’ordre néolibéral qui régit le commerce international depuis les années 1990. Assiste-t-on pour autant à la fin du libre-échange ?
Cet accord climaticide entre l’Union Européenne et plusieurs pays d’Amérique latine menace l’Amazonie, les communautés autochtones locales et les agriculteurs et agricultrices en Europe.
Après avoir annoncé avoir conclu les négociations avec le Mercosur en décembre 2024, l’UE espère conclure un accord de libre-échange avec la Thaïlande au cours de l’année 2025.
Il y a près de 40 ans, la gauche mettait en garde contre les conséquences d’un ancrage économique du Canada aux États-Unis. L’élection de Donald Trump montre à quel point ces avertissements étaient justes.
Les femmes continuent de marcher, dénonçant la violence et les crimes environnementaux, luttant contre le pillage des biens communs et contre la signature et la ratification d’accords.
Un traité d’investissement entre la Grande-Bretagne et l’Inde contiendra une disposition permettant aux entreprises de poursuivre l’un ou l’autre gouvernement si elles estiment que des changements de politique nuisent injustement à leurs investissements ou à leurs bénéfices.
Un tribunal arbitral de La Haye a jugé que l’interdiction décidée par le Royaume-Uni concernant la pêche au lançon dans les eaux anglaises — qui s’appliquait également aux navires de l’UE — était disproportionnée.
Un arbitrage international a accordé 147 millions de dollars à Webuild Spa à la suite d’un différend avec l’Argentine concernant le projet de construction et de concession de la liaison autoroutière Rosario-Victoria.
La société britannique Emmerson a officiellement saisi le CIRDI, reprochant aux autorités marocaines d’avoir bloqué abusivement son projet de mine de potasse à Khémisset dont elle évalue l’investissement à 2,2 milliards de dollars
L’Algérie appelle à une révision de l’accord d’association avec l’UE afin de mieux aligner les relations économiques entre les deux parties avec les réalités actuelles du marché. Les entreprises algériennes exigent une refonte de cet accord pour maximiser les avantages mutuels.
la Commission des Affaires européennes a examiné une proposition de résolution européenne (PPRE), visant à dénoncer l’accord euro-méditerranéen de 2005 établissant une association entre la Communauté européenne et ses États membres, d’une part, et la République Algérienne démocratique et populaire, d’autre part.