Le mouvement altermondialiste s’oppose depuis 30 ans aux accords de libre-échange. Que pense-t-il de la guerre commerciale engagée par Donald Trump à coups de droits de douane prohibitifs ?
Le retour au pouvoir de Donald Trump bouleverse encore davantage l’ordre néolibéral qui régit le commerce international depuis les années 1990. Assiste-t-on pour autant à la fin du libre-échange ?
Cet accord climaticide entre l’Union Européenne et plusieurs pays d’Amérique latine menace l’Amazonie, les communautés autochtones locales et les agriculteurs et agricultrices en Europe.
Après avoir annoncé avoir conclu les négociations avec le Mercosur en décembre 2024, l’UE espère conclure un accord de libre-échange avec la Thaïlande au cours de l’année 2025.
Il y a près de 40 ans, la gauche mettait en garde contre les conséquences d’un ancrage économique du Canada aux États-Unis. L’élection de Donald Trump montre à quel point ces avertissements étaient justes.
Les femmes continuent de marcher, dénonçant la violence et les crimes environnementaux, luttant contre le pillage des biens communs et contre la signature et la ratification d’accords.
Le neuvième cycle de négociations pour un accord de libre-échange bilatéral entre la Malaisie et la République de Corée débutera le 13 mai, selon le ministère du Commerce, de l’Industrie et de l’Énergie de la République de Corée.
Les Etats-Unis et la Chine sont convenus de baisser temporairement leurs droits de douane réciproques dans le cadre d’un accord plus important qu’attendu.
Le ministre néerlandais des Affaires étrangères, Caspar Veldkamp, a appelé à une réévaluation de l’accord de partenariat de l’Union européenne avec Israël, invoquant des « violations présumées du droit international humanitaire à Gaza ».
Le ministre français des Affaires étrangères a rappelé que les relations entre l’UE et Israël sont basées sur le respect des droits humains et des principes démocratiques. Le chef de la diplomatie française a également insisté sur la catastrophe humanitaire à Gaza.
L’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (UE), signé en 2002, visait à établir un partenariat économique équilibré. Cependant, après plus de deux décennies d’application, les produits agricoles algériens font face à d’importants obstacles bureaucratiques sur le marché européen.
Le député Charlie Dewhirst, représentant de Bridlington et des Wolds, met en lumière les orientations économiques du Royaume-Uni à l’égard du Sahara, région intégrée à l’accord d’association liant Londres à Rabat.