En cette Journée internationale d’action contre l’OMC et les accords de libre-échange, La Via Campesina réitère son appel en faveur d’un nouveau cadre commercial mondial enraciné dans la souveraineté alimentaire.
Des paysan·ne·s de plusieurs pays se sont unis pour délivrer un message clair et urgent : ces les accords de libre-échange UE-Mercosur et UE-Mexique ne doivent pas être adoptés et ne le seront pas.
Nous préparons déjà des actions fortes contre les accords de libre-échange pour pousser le gouvernement français à enfin bloquer ces accords mortifères.
Après des années de consultations internes, le mouvement a élaboré une série de propositions initiales, qu’elle a présentées en invitant à une contribution et à une collaboration plus larges.
Le secteur agroalimentaire européen supportera les énormes coûts économiques et sociaux de l’accord, car la charge de la dette des Etats-Unis sera transférée aux agriculteurs européens.
L’Etat français est attaqué par deux sociétés russes d’investissement (contrôlées par un oligarque sous sanction) dans le cadre du mégaprojet minier « Montagne d’Or » en Guyane.
Ce traité signé entre le Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay, Bolivie) d’un côté et l’Association européenne de libre-échange (Suisse, Norvège, Islande, Liechtenstein) de l’autre vise un marché de 300 millions de personnes.
Le Brésil s’attend à ce que le bloc sud-américain du Mercosur et les Émirats arabes unis finalisent un accord commercial d’ici la fin de l’année, a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Mauro Vieira.
Le secrétaire américain au Commerce Howard Lutnick a indiqué qu’un accord commercial entre les États-Unis et l’Inde dépend de la cessation par l’Inde de ses achats de pétrole russe.
Le Premier ministre Kim Min-seok a déclaré que la Corée du Sud était en train d’envisager de rejoindre le pacte commercial transpacifique, ce qui pourrait renforcer la coopération économique avec le Japon.
Le Premier ministre a chargé le ministère de l’Industrie et du Commerce de présider et de coordonner avec les ministères et les branches économiques le processus de négociation d’accords de libre-échange (ALE) avec de nombreux partenaires potentiels.
La Chine souhaite procéder à la signature officielle d’une version améliorée de l’accord de libre-échange avec l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (Asean) avant la fin de l’année, a déclaré le vice-ministre chinois du Commerce.