Dans son arrêt du 4 octobre 2024, la Cour de justice de l’Union Européenne a statué que les produits du Sahara Occidental présents sur le marché de l’UE ne peuvent être étiquetés « Maroc ».
Le récent rapport "Investissements mafieux contre le Honduras" traite de la situation préoccupante dans laquelle se trouve le pays d’Amérique centrale face aux procès intentés par des sociétés transnationales devant des tribunaux d’arbitrage internationaux.
Attac et des dizaines d’organisations membres de la Coalition européenne pour la justice commerciale (ETCJ) appellent à dix priorités pour que la politique commerciale de l’UE soit à la hauteur des défis de demain.
L’ordre commercial international actuel a été instauré pour soutenir l’expansion des entreprises transnationales et pour assurer la mainmise des puissances coloniales sur les ressources naturelles du monde.
Ce webinaire, prévu le jeudi 12 septembre 2024, vise à réfléchir collectivement à ce que cet accord commercial signifie pour la population africaine à une époque de profondes crises climatique, économique et alimentaire.
La Zone de libre-échange continentale africaine vise à créer un marché unique pour les biens et les services. Mais derrière cet objectif, présenté comme « panafricaniste », se cache un projet néolibéral qui pose des questions cruciales.
Les deux syndicats majoritaires du secteur, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs, appellent à un mouvement national à la mi-novembre pour s’opposer notamment à la possible signature de l’accord de libre-échange avec le Mercosur.
La poursuite de 20 milliards de dollars américains des promoteurs de GNL Québec contre le gouvernement canadien sera entendue en 2025. Le Canada plaide pour sa part que le tribunal ne devrait pas être saisi de cette affaire.
Le ministre indien du commerce a déclaré que son pays cherchait à conclure un accord de partenariat sur les minéraux essentiels avec les États-Unis et qu’il espérait des discussions sur un pacte commercial plus large entre les deux pays.